L’association ne travaillera qu’au bénéfice de personnes à qui la France, par l’intermédiaire de l’OFPRA[1], a reconnu le statut de réfugié, et donc la protection de la Convention de Genève. Ces personnes sont persécutées dans leur pays en raison de leur appartenance religieuse, politique, ethnique … et ne peuvent donc plus y vivre.
Ce statut de réfugié emporte certains droits, notamment économiques (aide, allocation, santé, …). C’est tout à l’honneur de la France que de les accorder après une étude sérieuse et impartiale des dossiers.
Ce statut suppose aussi des devoirs, parmi lesquels celui d’apprendre le français et de s’intégrer à la société française, notamment par le respect des valeurs républicaines et le travail.
L’association veillera à ce que leurs droits, régulièrement acquis, soient respectés ; elle veillera aussi à ce que leurs devoirs, contrepartie logique de ces droits, le soient également.
